Ali l'Alchimique

Le vendeur de plantes et substances rares que tous les alchimistes connaissent dans le coin. Quasiment en situation de monopole.

Grassouillet avec une barbichette, des bagues en or sur les doigts.
Se triture la barbichette régulièrement. Fait le geste "oseille" avec son pouce et son index.

Né en Turan, dans Aghrapur Le Joyaux de la Vilayet.
A un fils, Ali le Colérique, qui lui donne bien des soucis à lui et à sa deuxième femme, Maria. Ergen le connaît pour l'avoir recousu plus d'une fois.
Part parfois pour ramener de son pays natal des produits rares. Accepte parfois des commandes particulières, et aime que l'on l'épaule durant ses voyages.
Sa deuxième femme s'appelle Maria, il n'a pas d'enfant avec elle, mais elle s'occupe de bon coeur d'Ali le Colérique.

C'est un commerçant, il est là pour faire de l'argent. Et bien faire son travail, c'est la meilleure façon de faire de l'argent.

A aidé Ergen, qui est de ses amis, à trouver Andreas qui lui achetait de la poudre de foie de salamandre, utilisée dans les feux rituels, et qui a la particularité de sentir le romarin.

Doit partir pour Turan chercher des produits : l'approvisionnement est interrompu en raison des troubles politiques là-bas. Demande à Ergen de l'accompagner. Finalement à la demande d'Aro de Balla, tout le groupe l'accompagne. Il n'y avait pas grand chose à faire à Valadelad de toute façon.
A disparu mystérieusement lors du séjour à Belthaar, se comportant bizarrement. Il se dirige vers les catacombes, semble-t-il à la recherche du tombeau d'un sorcier, Ikhtanabu Xul.
Etait possédé par l'esprit de Xul, caché dans une dague qu'il a ramassée après une échauffourée. Le sorcier voulait recouvrer sa puissance en prenant possession de ses livres de sorcellerie, cachés dans son tombeau. L'intervention des quatre de Dadûn a mis fin à ses projets, et à la hantise.
Ali se dirige maintenant avec les PCs vers Turan, en prenant la caravane de Haram Baal. La traversée du Al Khaz le rend nerveux, les nomades en sont cruels.

Retenu en otage par le shaykh Muleh Al Jafari, pour forcer les aventuriers à ramener sa petite fille, Jamila, et son ravisseur, Azam, de la partie nord-est du désert Al Khaz de sinistre réputation.
Libéré en plutôt bonne santé lorsque le marché a été respecté par les PCs.

Est parti dans la famille, puis faire des emplètes, laissant les PCs dans l'auberge "la troisième morue", tenue par un ami.
A réussi à rentrer avec qques marchandises à Valadelad, en payant grassement des gardes du corps. Ceux de Dadûn ont dû quitter précipitament Turan à la suite de plusieurs catastrophes.