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La taverne de Daruk & Diogo "Le trône de fer"

Justement, pour le personnel, je voyais bien :

  • Un Cuisinier Khitan qualifié,+-50 balais avec ses deux jeunes et jolies filles en salle/plonge. Passé pas clair, certainement un peu guerrier ou voleur. En tout cas en exil et ne parle jamais de son histoire. Arrivé récemment a Valadelad. Parle souvent de sa femme décédée quand il s’adresse a ses filles (votre mère vous regarde, honorez votre mère, vous avez faits les offrandes a votre mère ce matin, etc…). Adore les chats, il y en plain l’auberge. Parle tout le temps en Khitan dans sa barbe. Souriant mais soupe au lait. Capable de jeter ses couteaux sur les gens en cas de plainte sur la nourriture ou de blague comme quoi il cuisine les chats.

    • Une des filles un peu musicienne, un peu fleur bleue, grand tatouage dans le dos. Un peu herboriste ? Tient de sa mère.
    • l’autre fille clairement garçon manquée qui veut tout le temps s’entrainer aux combat avec son père, mais pas sans charme. Nettement plus coquine et émancipée que sa petite sœur. Une bonne façon de finir en cube dans le bouillon de viande est de se montré familier avec elles en présence de papa.
  • Un palefrenier tout grand et tout boutonneux, bien serviable mais pas très doué. C’était l’apprenti pas doué du précédent Locataire (le Forgeron mort d’une glissade). Chargé par le proprio d’entretenir l’immeuble en attendant la vente. Finalement acheté avec les murs. Connait bien le quartier. Avant se faisait mordre par les chevaux lorsqu’il les ferrait. Maintenant se mordre par les chevaux lorsqu’il les bouchonne. S’applique toutefois et progresse rapidement. Vit dans le quartier avec sa vieille mère la chandelière.

  • Un jeune videur/garçon de salle. Gros balèze tout gentil genre a se tatouer un cœur avec « maman » dedans. Chante très bien, en particulier les paillardes. Connait un nombre de gros mots étonnants et dans presque toutes les langues. Fils d’aubergiste de campagne ayant rejoint la ville pour échapper a son destin de fils d’aubergiste de campagne… Mais ne sachant rien faire de ses dix doigts, s’est vu récemment promu dans le secteur de l’auberge de ville… Pas de domicile vraiment attitré, dort dans la grange ou chez la tantine du palefrenier.